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					| PARLEMENT EUROPEENCLIENTBAZIN SA est une société d'administration et de gestion de biens 
							immobiliers.Cette entreprise est  notamment responsable de la gestion de certains bâtiments du parlement européen de Bruxelles.
 
 DESCRIPTIONLe futur complexe Espace Léopold, encore appelé "Caprice des dieux",  qui viendra compléter le Parlement Européen à 
							Bruxelles, est constitué de 3 immeubles D1, D2 et D3, où seul le bâtiment D1 est livré.
 Les besoins actuels, liés au bâtiment D1 couvrent la HVAC (chaleur, ventilation, air conditionné), la détection incendie, 
							la protection incendie, électricité courants forts, électricité courants faibles.
 
 L'ensemble des systèmes de traitement de l'information technique reste à améliorer, en fonction de ce que l'on connaît des 
							modes de fonctionnement de ce bâtiment, notamment en tenant compte des équipements complémentaires livrés pour D2 et en se 
							plaçant dans une perspective d'ensemble, incluant la livraison à terme du D3.
 
 
   OBJECTIFSLes objectifs étaient:
  							Le modèle de base utilisé dans cette étude est l'architecture CIM (Computer Integrated Manufacturing) qui hiérarchise sous la 
							forme d'une échelle temporelle et informationnelle les systèmes dans le monde industriel. Chercher des solutions ouvertes sur les bases des équipements du D1, Déterminer les coûts approximatifs de ces solutions, Comparer ces solutions à celles proposées par la société d'ingénierie responsable de l'intégration de l'existant. 
 La transposition du modèle CIM  aux problèmes d'intégration d'équipements domotiques est aujourd'hui admise.
 
 En effet les solutions proposées supportent les mêmes contraintes humaines et techniques que leurs homologues dans le monde 
							industriel.
 
 CONTRAINTESLes contraintes sont essentiellement liées à l'existant. En effet la plupart des équipements domotiques du marché sont 
							actuellement utilisés dans le bâtiment D1 et cet ensemble a donc atteint un niveau d'hétérogénéité et de complexité qu'il 
							faut absolument éviter pour les autres bâtiments.
 Il faut ajouter à cela que la connaissance des installations techniques est détenue par des sociétés prestataires externes 
							au parlement européen.
 
 CONCLUSIONLe monde industriel a pris conscience des problèmes d'intégration depuis une dizaine d'années. Les concepteurs de 
							grands ensembles affrontent aujourd'hui les mêmes contraintes.
 Nous avons donc profité de cette expérience pour proposer des solutions ouvertes permettant :
 
  							Les solutions techniques qui ont été suggérées exploitent le réseau PDS/ETHERNET/TCP/IP des bâtiments câblés en tant que 
							garant de l'interopérabilité des applications actuelles et futures. D'assurer les besoins de l'exploitant. De prendre en compte l'hétérogénéité du bâtiment D1. De valider l'architecture retenue pour les futurs bâtiments. 
 
 
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